Génocide
---------- Lire la présentation sur Le Monde : Génocide : la douloureuse question de la définition
--------- regarder l'exposition en ligne (ajout 17/02/2016)
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« Amour, gloire et Bosphore : Istanbullywood, l'usine à fictions » (Télérama)
Produites au kilomètre, les séries turques, souvent des soaps à l'eau de rose, rencontrent un succès phénoménal. Si le pays est devenu le premier exportateur mondial, devant les Etats-Unis, tous les sujets ne sont pas permis…
Ce film s’appelle « La route » de l’australien John Hillcoat. Sorti en 2009, il s’inspire du roman de science-fiction de Cormac McCarthy.
lire un extrait ici
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Analyse de photogrammes
Sur le photogramme n°1, on voit les deux personnages principaux, un père et son fils, qui marchent dans une ville complètement ravagée. Le décor d’une périphérie urbaine présente une voie de chemin de fer ; dans l‘avenue centrale deux voitures abandonnées rongées par la rouille due au temps et aux intempéries (un 4x4 et une voiture de police, cette dernière carcasse marque la faillite de l’Etat). Tous les pylônes électriques le long de la route sont de travers ou tombés : c’est un monde qui s’est effondré. C’est une ville désertée, un décor post-apocalyptique. Il n’y a plus d’état.
Le climat est détraqué. Le ciel est gris. On ne voit aucune couleur éclatante ce qui exprime la détresse et la solitude On voit à l’arrière-plan de la fumée, on imagine que ce sont des incendies.
Les deux héros de l’histoire sont tous seuls. On dirait qu’ils sont les derniers survivants de ce monde. Ils peuvent compter seulement sur eux-mêmes. Ils n’ont plus aucuns vivres. Ils sont à la recherche de nourriture. Ils traversent la ville, ils ne peuvent s’arrêter car ils sont traqués par des pillards et/ou des cannibales. Dans ce monde, il n’y a plus de valeurs morales hormis celles représentées par le père et le fils, placés à droite du plan.
Les ruines sont sur le côté gauche, ce qui représente l’enfer.
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Sur le photogramme n°2, on voit une ville abandonnée par l’homme. Il s’agit d’un lotissement (deux rangées de maisons identiques formant comme un rang d’honneur) que traversent le père et son fils ; ils progressent de dos au milieu de la route à la recherche de ressources nécessaires à leur survie. Ils errent à la recherche d’un abri pour se reposer et pour trouver des provisions pour se nourrir.
Le temps sombre accentue l’effet de désastre. On constate l’ampleur des dégâts. On ressent toute la violence de cette époque. Le ciel est sombre vers les maisons, il semble recouvert. de cendres et de résidus. Sur leur chemin, il y a des squelettes d’humains, des voitures rouillées (à cause du climat froid et humide), détruites. Un fauteuil roulant abandonné comme pour dire qu’une personne invalide est mise de côté dans ce monde. Il y a des mauvaises herbes plus hautes qui envahissent la ville. Cette ville est devenue une ville fantôme. L’image illustre la désolation et la désespérance.
On peut voir un drapeau américain déployé comme pour signifier la faillite de l’Etat américain à protéger ses ressortissants.
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Sur le photogramme n°3, on voit une forêt totalement brûlée. Les arbres n’ont plus de feuilles, il ne reste plus que des troncs carbonisés. Le ciel est assombri par les nuages et la fumée. On peut comparer cette scène à un champ de bataille. Le sol est stérile et sans végétation. On se rend compte que la faune et la flore ont disparu. C’est effrayant de vivre dans un tel monde Plus aucun moyen de se nourrir toutes les espèces vivantes sont appelées à disparaitre.
A cause de la faible luminosité, on peut voir très difficilement deux ombres, le père et le fils, présents à gauche du plan. Ils se fondent dans le décor comme pour dire que la nature ne va pas tarder à reprendre ses droits sur eux. On ressent la solitude dans laquelle ils sont plongés.
On comprend que ce monde est tombé complètement dans le sombre, la peur, l’absence d’espoir. Un monde post-apocalyptique : les couleurs sombres accentuent l’effet de chaos, tout comme le ciel.
compilation d'après les commentaires des élèves de 1ère MA
LA ROUTE - BANDE-ANNONCE VOST FR
Lire l’article du Monde : « Jusqu’en 1979, tous les cubes Maggi ont été importés. Afin notamment de limiter les coûts de transport et mieux satisfaire la demande, ils sont aujourd’hui fabriqués aux quatre coins du continent. Aujourd’hui, pas moins de onze usines – de Dakar à Douala, en passant par Brazzaville ou Abidjan – tournent à plein régime pour fabriquer les cubes. La demande est vertigineuse : il s’en écoule plus de 100 millions par jour…
{[…] la composition des cubes varie selon les latitudes. Celui qui est vendu au Ghana, par exemple, aura un goût de crevettes que l’on ne retrouvera pas en Côte d’Ivoire, où l’on a remplacé l’amidon de maïs par du manioc. Au Nigeria en revanche, on mettra en avant le gout de graines de soja grillées… »
Un Maggi store au Nigéria.
----> article paru dans Ouest-France relatant le débat à la Chambre des députés.
----> documents sur le combat de Simone Veil au sujet de l'IVG (site d'un professeur)
---- > Sur le portail FranceTv éducation , dossier sur les droits des Femmes, vidéo sur la naissance du MLF et biographies de Gisèle Halimi et Simone Veil. (rajout 31/01/2017)
Pour appréhender les circuits de la mondialisation.
Regarder le webreportage sur le site du Monde. "Au Kenya,les roses épineuses de la Saint-Valentin."
Derrière la réussite affichée de la Silicon Valley, avec son tissu d’entreprises florissantes (notamment les FTN Google, Apple, Facebook, Yahoo !, eBay), il existe un monde oublié celui des pauvres.
Lire l’article sur le site du Nouvel Observateur : « Silicon Valley vs Misère Valley, les laissés-pour-compte de Google & Co ».
Autres pays = autres modes alimentaires. Mais y a t'il équilibre alimentaire ?
Diaporama Tour du monde des petits déjeuners sur le site du Monde .
En quoi certaines cultures sont mises en danger par la mondialisation ?
Article ici : Le safari humain, une menace pour les Indiens Mashco Piro du Pérou.